HABA: Et pour quelques boîtes jaunes de plus…

Vous l’attendiez avec impatience (ou pas…) : voici la suite des nouveautés Haba !!!

Si vous avez loupé le premier épisode, c’est ici que ça se passe. On vous présentait en long, en large et surtout en travers, toute une arche de Noé d’animaux bigarrés. Pour ce deuxième épisode, il va être question de peinture, de bonbons, de monstres gloutons, de panoramas aquatiques et même de trésors à la dérive.

Préparez vos palmes, votre tuba, votre blouse et votre dentifrice; on va vous faire voir la vie en jaune.


Barbouille porte bien son nom : quand il fait de la peinture, il en met plus sur sa blouse que sur ses dessins. Il faut dire qu’il n’est pas aidé puisque son chien Toffie a la fâcheuse manie de voler ses pinceaux. Bondissez de tube de peinture en tube de peinture et soyez le plus rapide à salir la blouse de Barbouille !!!

Chaque joueur a devant lui une plaque Blouse qu’il va devoir remplir avec des jetons Taches de peinture. À votre tour, vous retournez une des cartes au centre du plateau : il s’agit d’un dessin de Barbouille composé de plusieurs couleurs. Citez l’une d’entre elles et avancez le pion Barbouille jusqu’à une case de cette même couleur. S’il s’agit d’une empreinte de pas, rien ne se passe. S’il s’agit d’un tube de peinture, vous gagnez un jeton Tache de cette couleur.

Si au lieu d’un dessin de Barbouille, la carte que vous retournez représente Toffie le chien, celui-ci vous a chipé un pinceau. Vous devez alors citer rapidement un objet autour de vous qui soit de la couleur du pinceau. Si vous réussissez, avancez le pion Barbouille jusqu’à une case de cette couleur.

Le premier joueur qui remplit sa blouse de 8 jetons Taches gagne la partie.

Le jeu propose aussi une variante coopérative où tous les Marmots doivent remplir la blouse de Barbouille avec 10 taches avant que l’ensemble des cartes Toffie le chien ne soient placées tout autour du plateau.

Avec son concept simple mais efficace, « Color Mania » s’annonce comme un jeu parfait pour apprendre les couleurs et se tacher sans se faire rouspéter.

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Etes-vous le roi du Puzzle ? Grace à « PuzzleFix », vous allez très vite le savoir.

Chaque joueur reçoit une série de 10 cartes qui, placées correctement les unes à côté des autres, forment un panorama. Celui qui reconstitue le plus rapidement son panorama gagne un jeton Poisson.

Après 4 manches et 4 puzzles différents, celui qui a le plus de Poissons gagne la partie.

« PuzzleFix » est donc un pur jeu de puzzle et de rapidité. La boîte ne proposant que 4 séries de cartes, on se pose évidemment la question de la rejouabilité : sera-t-elle au rendez-vous ? Petit plus à noter toutefois: les 4 panoramas mis les uns au dessus des autres forment une grande image.

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Pour faire plaisir, rien de tel que d’offrir une boîte de bonbons. Mais quand 4 Marmots se ruent dessus, seul le plus rapide mettra la main sur ses bonbons préférés.

Encore un jeu de mémoire avec ce « Bonbon Party » qui rajoute une bonne dose de vitesse. A chaque tour, en effet, un jeton bonbon au hasard est révélé et vous devez être le plus rapide à trouver le bonbon identique caché au centre de la table. Si c’est un jeton Dentifrice qui est révélé, le premier à se saisir de la brosse-à-dents en bois gagne la manche.

Quand le troisième jeton dentifrice est révélé, il est l’heure de se brosser les dents et la partie s’achève. Celui qui a mangé le plus de bonbons gagne la « Bonbon Party ».

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La table a été dressée et les plats s’étalent à n’en plus finir sous des cloches qui les empêchent de refroidir. En bout de table, les monstres ont hâte de jouer les pique-assiettes et de gouter au fameux Fish-Shake, à la croustillante pizza Aaaargharita ou au … oh non du Glubten… Les monstres avaient pourtant prévenu le cuisinier qu’ils étaient allergiques au Glubten…

Le buffet est préparé en posant les Jetons Cloche par paires pour former une longue tablée. Les monstres sont placés à l’une des extrémités de cette table. À votre tour, le dé indique quel plat vous devrez éviter. Vous retournez alors l’une des 2 cloches qui se trouve juste devant votre monstre. S’il ne s’agit pas du plat à éviter, vous pouvez soit vous arrêter là, soit continuer en retournant l’une des 2 cloches de la paire suivante. Et ainsi de suite…

Si le plat indiqué par le dé est révélé, votre tour se termine immédiatement et votre monstre reste à sa place. Si vous vous êtes par contre arrêté à temps, votre monstre avance jusqu’à la rangée où le dernier plat a été retourné.

Le jeu se termine dès qu’un monstre a effectué un aller-retour le long de la table. Il est alors considéré comme le meilleur pique-assiette du Buffet des Monstres.

« Le buffet des monstres » est donc un jeu malin qui allie Mémoire, Jeu de parcours et Stop ou encore pour des parties très rapides. On vous en reparle très vite.

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Une boîte de « Glob’animaux » contient plus de 50 animaux différents. Pas pour de vrai, rassurez-vous. (Vous avez trop regardé Jumanji quand vous étiez petits…) Plus de 50 animaux, donc, à deviner au gré d’indices savamment distillés. Et vous allez très vite comprendre que niveaux Animaux, vos Marmots sont bien plus calés que vous.

10 cartes Enigmes sont insérées dans un ingénieux cadre en carton. Chacune de ces cartes est illustrée de 4 animaux et de 4 indices. Au début de chaque manche, ces indices sont recouverts par des pions.

Chacun votre tour, vous retirez un pion et révélez un indice. Tout le monde peut alors parier sur l’animal parmi les 4 qui vous paraît être le bon. Bien sûr, plus vous attendrez, plus vous utiliserez d’indices, et moins vous gagnerez de points.

Petite subtilité: 3 fois dans la partie, vous pouvez utiliser vos cartes Jumelles pour regarder un indice sans que les autres ne le voient. De quoi rajouter un peu de piment et un poil de stratégie.

La partie se termine une fois les 10 cartes énigmes résolues, où lorsqu’un joueur fait le tour du plateau de score. Celui qui a le plus de point gagne le droit d’être fier comme un coq et parader comme un paon.

« Glob’animaux » semble être un jeu de connaissance assez classique dans la lignée des « Enigmes » de chez Bioviva, mais servi par un matériel très original et réhaussé d’une couche de paris. A voir si le jeu parents-enfants n’est pas trop déséquilibré.

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Chaque fournée de nouveautés Haba inclut son jeu « Wahou ! ». Et c’est « Trésors à la Dérive » qui fait office de jeu « Wahou ! » pour celle-ci. Dur de succéder à « Moonlight Heroes » dans cette catégorie, mais avec sa magnifique illustration de couverture, son matériel coloré et son concept amusant, « Trésors à la dérive » met tout de même quelques étoiles dans les yeux.

À chaque tour, le radeau débute sur une île entourée de 4 cartes. Chacune d’elle est recouverte d’un trésor. Choisissez l’une des cartes et empilez le trésor dans le radeau. Au fil de la partie, la pile de trésors va dangereusement croître et l’opération va se faire de plus en plus périlleuse.

Si rien n’est tombé du radeau, c’est bien, mais le plus dur reste à venir. Le verso de la carte qui se trouvait sous le trésor va en effet vous indiquer le symbole de l’île vers laquelle vous devez emmener votre embarcation et le nombre de coquillages que vous gagnerez si vous réussissez. Il va falloir faire preuve de beaucoup de calme et d’habileté pour arriver à destination sans grabuge.

Si à n’importe quel moment, des trésors tombent du radeau, c’est Tilda la Tortue qui s’en empare et votre tour se termine immédiatement.

Une fois toutes les îles vides, celui qui a collecté le plus de coquillages gagne la partie.

S’il faut le résumer en quelques mots, « Trésors à la dérive » c’est « Pyramide d’animaux » dans une barque. Un jeu d’empilement qui va vous demander de l’adresse, de l’adresse et aussi un peu d’adresse.

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Voilà. Vous savez maintenant tout sur les Nouveautés Haba paru ces dernières semaines. J’imagine que comme nous, certaines vous ont laissées sceptiques ou de marbre, certaines ont titillées votre curiosité et certaines vont vous faire pousser la porte de votre boutique de jeux préférée.

Pour ne rien vous cacher, chez Plateau Marmots, on a déjà eu la chance de s’en procurer quelques-unes et on vous en reparle pas plus tard que dans pas longtemps.

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